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 Frère = Mal de crâne [PV Ludovique]

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Ulric Z. Zacary
Ulric Z. Zacary
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Frère = Mal de crâne [PV Ludovique] Vide
MessageSujet: Frère = Mal de crâne [PV Ludovique]   Frère = Mal de crâne [PV Ludovique] EmptyDim 2 Déc - 18:41




«Frère = mal de crâne»

et cette fois c'est pas du bluff...


Frère = Mal de crâne [PV Ludovique] 3128627858_1_2_qYq7PM0F

Ludovique et Ulric
" L'amour fraternel c'est étouffant. "

Juste assis sur un canapé, je fixais silencieusement le ciel qui se cachait derrière les vitres de ses grandes fenêtres. Je ne faisais rien. J'étais perdu dans mes pensés à attendre la fin de la journée pour enfin me plonger dans un sommeil profond et -presque- tranquille. Mon visage ne montrer aucune expression, rien, nada, figer. Je n'étais pas seul, autour de moi gigotés des gars et quelques fillettes. Ils riaient en coeur, discutaient de tout et de rien mais surtout de rien. Leurs brouhaha me laissais de glace. Ce qui est inhabituel, car en temps normal deux possibilité s'offraient à moi: jouer l'hypocrite et me fondre dans leur groupe ou alors m'évadé et partir le plus loin possible d'eux pour rechercher le calme. Oui. Mais non. Aujourd'hui rien. Beaucoup trop fatigué pour tout ça. La flemme de me levé. De bouger. De "jouer". Mais ils ne semblaient pas y faire attention. Ils avaient accepté de me laisser. Mais pas de suite, j'avais dus simulé un mal de crâne, une fatigue. Et là, ils m'avaient laissés de côté. C'est mieux ainsi.
J'étais donc sur un canapé à regardais le ciel, et plus précisément les nuages; qui bougent lentement, très lentement. Mon dos est légèrement recourbé vers l'avant, les chaussettes à l'air et les baskets balancer devant moi. J'étais plutôt à l'aise comme ça.
La façon d'ont j'étais seul dans mon coin aurais pu donner une impression de rejet, ouais, comme-ci l'on m'avais laisser pourrir loin. Que j'étais un déchet d'ont tout le monde ce moque. C'est amusant. Cela arrive à certain. J'en ai déjà vu, ces gars et ces gamines isolés. Une fois de ce côté il est dur d'en sortir. Puisqu'en général chacun imite son prochain afin de ne pas se retrouver abandonner de la "société". Mais ainsi ils disparaissent totalement dans le décor. C'est d'un drôle. M'enfin je suis mal placé pour parler n'est-ce pas ? Je suis aussi visible qu'une arrête de poisson sur la crinière d'un cheval. Je me comprend.

Bref. Je ferme lentement mes yeux, pris d'une fatigue habituelle. Je baille et plonge dans un sommeil fragile, ce n'est pas vraiment une sieste. Je ne dors pas, je me repose juste un moment. J'entend encore un peu les bavardages de la salle mais n'y fait pas grande attention. Mon activité est bien plus intéressante. C'est fou comme l'on peu faire l'impossible lorsqu'on dors. S'envolais, se transformais, disparaître. Enfin moi je ne pense pas à ce genre de sornettes. Personnellement j'imagine des inventions. Des trucs qui rendrais ma vie plus facile. J'en ai fais une liste d'ailleurs. Pas bien grande pour l'instant mais c'est un début. Un léger sourire s'affiche sur mon visage. Ce n'est rien. Juste un beau rêve. Mais les rirent se font plus insistant et provoquant alors immédiatement, mon petit sourire s'en va aussi vite qu'il est apparut, pour laisser place à mon visage glacial, qui ne laisse paraître aucune émotion. Quoi que...on pourrais croire que je suis triste s'il on me fixe. Peut-être. Quoi qu'il en soit, mes yeux restent fermer.

Et là... Alors que je m'y attendez pas, mais alors vraiment pas du tout. Je sentis des lèvres se collaient à ma joue droite. Pas des lèvres féminines. Je crois bien qu'elles appartenais à un garçon. J'ouvris immédiatement les yeux et tourna la tête de côté. Un gringalet blond me souriais de toutes ses dent et étrangement on ne voyait pas ses yeux. J'étais sur le point de me lever et de le repousser mais il me prit dans ses bras et me serras fort contre lui. Et étant donné que je suis aussi fort qu'une petite souris, je ne pouvais que me laisser faire.

"Faut pas être triste !"

Que...quoi...? Mais de quoi parle t-il ce gamin ?




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Ludovique Svensson
Ludovique Svensson
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MessageSujet: Re: Frère = Mal de crâne [PV Ludovique]   Frère = Mal de crâne [PV Ludovique] EmptySam 8 Déc - 2:04

Frère = mal de crâne.



Il avait mal.
Oui Ludovique avait mal. Par sa maladresse habituelle, il avait réussi à perdre l'équilibre en marchant, simplement en marchant, et été tombé sur le sol de bitume gris recouvert de cailloux de la cour du pensionnat. Quelques gens avaient rit de lui, quelques autres encore été venus l'aider. Son jean noir c'était déchiré au genou droit sous l'impact et une coupure avait fait sa douloureuse apparition dans la chair pâle du garçon. Ça saignait un peu et une multitudes de petits cailloux c'était immiscés dans la coupure, rendant chacun de ses pas affreusement douloureux.

Par reflexe, il se pencha sur son genou endolori pour le porter à sa bouche. Il lécha la plaie, enlevant le gravier avec ses doigts, la salive été un très bon cicatrisant, et puis personnellement il n'avait jamais trouvé le fait de lécher son propre sang bizarre. C'était le sien après tout! Après avoir aspiré de la plaie tout le sang infecté, il le recracha et se releva, époussettant son slim, déjà râpé à plusieurs endroits, et reparti en boitillant légèrement vers le dortoir réservé aux garçons.
Arrivé là bas, la douleur commençait déjà à s'estomper doucement, son genou commençait à s'insensibiliser et, bien qu'il eu encore quelques difficultés à marcher correctement, il pénétra dans la salle commune plein d'entrain, sa bonne humeur habituelle étant revenue d'elle même.

A peine eu t'il fait un pas maladroit dans la pièce qu'une fille avec qui il s'entendait plutôt bien se jeta sur lui en lui demandant ce qui lui arrivait. Elle s'empressa de lui mettre un pansement sur la plaie avant de lui déposer un baiser sur le front et de partir en lui souhaitant une bonne journée. Il resta quelques secondes à ne rien faire, analysant toute cette scène qui c'était passée trop vite pour lui et, finalement, se contenta de sourire encore davantage et c'est ainsi que, totalement revigoré, il parti s'installer dans un fauteuil près du feu central de la pièce. Nous étions en hiver, il ne neigeait pas encore mais de gros nuages pâles obstruaient le passage des rayons du soleil, rendant le paysage un peu sombre, un peu triste aussi. Triste.

Triste comme le garçon là bas. Il avait l'air triste. Vraiment triste. Il regardait par la fenêtre d'un regard vide, regardant sans vraiment voir les nuages de cette saison. Il était dans sa classe. Il avait déjà oublié son nom mais il se souvenait de son visage. En tout cas, il était là, seul, seul et triste comme un pauvre enfant rejeté. Alors sans hésiter une seule seconde, Ludovique s'approcha du coin où été assis le jeune homme. Il ne supportait pas de voir les gens triste, et lui avait l'air particulièrement malheureux alors il alla naturellement vers lui pour tenter de lui remonter le moral. Il se dirigea vers le garçon qui ne devait avoir gère plus qu'une année de plus que lui, vu que lui même avait sauté une classe, et se posta juste devant lui. De toute évidence ce dernier ne le remarqua pas vu qu'il ne tourna même pas la tête vers lui.

Alors, sans ménagement, comme il été habitué à faire, Ludovique s'assit sur les genoux du garçon qui été maintenant juste en face de lui, lui attrapa le visage entre ses mains et le tourna de manière à ce qu'il lui présente sa joue pour lui coller un baiser sonore dessus. Il sourit se son grand air respirant la niaiserie et l'innocence et, toujours sur ses genoux, commença à babiller joyeusement.

"Hé, faut pas être triste d'abord!"

Il lui attrapa les joues et les pinça entre ses doigts, lui même rigolant aux éclats. Enfin, il fini par s'écarter et se leva des genoux du pauvre garçon. D'accord il ne pesait pas bien lourd mais le garçon en face de lui n'avait pas l'air d'être une montagne de muscles non plus alors mieux valait s'écarter avant qu'il ne fatigue un peu trop.
Il s'assit juste à côté de lui et posa sa tête sur son épaule. Non, pas comme un couple le ferait, en fait, il été exactement derrière le garçon et son menton été posé sur l'épaule de ce dernier, donc sa tête été droite. Vu que sa bouche se trouvait assez proche de son oreille, il aurait très bien pu chuchoter pour éviter de gêner les autres personnes présentes dans leurs conversations mais, Ludovique étant Ludovique, il avait beau se trouver à seulement quelques centimètres de la personne à laquelle il voulait parler ce n'été pas ça qui lui lui ferait réduire le nombre de décibels de son volume sonore.

Lui même avait l'air un peu inquiet en disant ça, qu'il le connaisse ou pas, voir quelqu'un dans cet état le rendait toujours triste. Alors finalement, étant toujours derrière lui, il lui attrapa les épaules et le prit dans ses bras en se balançant joyeusement d'avant en arrière. Comme pour le consoler.

"Hé dis, hé dis, pourquoi t'es triste?"


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Frère = Mal de crâne [PV Ludovique]

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